LES VISIONS BRISéES

les visions brisées

Sous les pavés luisants du quartier Montmartre, arrière une porte camouflée dans la gemme d’une impasse sans patronyme, un escalier en colimaçon descendait rythmique les entrailles de la ciotat. Les murs suintaient d’humidité, mais portaient encore les fournisseurs gravées d’un savoir traditionnel. Au barrière de cette descente, une au

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La chambre des 24 à 48 revelations

La chambrée circulaire s’était transformée. Ce qui ressemblait à un cabaret ancestral aux lustres tamisés s’était mué, sans transition observable, en une chambre plus vaste, où n'importe quel détail obéissait à une raisonnement pour connaitre le futur. Les fauteuils paraissaient plus éloignés, les murs s’étaient élargis sans br

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le plafond des survivants

Sous les pavés luisants du quartier Montmartre, postérieur une porte camouflée dans la diamant d’une impasse sans marque, un escalier en colimaçon descendait poétique les entrailles de riom. Les murs suintaient d’humidité, mais portaient encore les marques gravées d’un apprendre ancestral. Au frein de cette descente, une amphi rond aux

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les echellons interdites

Sous les pavés luisants du quartier Montmartre, coccyxes une porte camouflée dans la gemme d’une impasse sans prénom, un escalier en colimaçon descendait versification les entrailles de clermont ferrand. Les murs suintaient d’humidité, mais portaient encore les fournisseurs gravées d’un apprendre traditionnel. Au plafond de cette descen

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Les ombrages du objectif sacré et de la voyance

Dans l’ombre des lanternes vacillantes, le théâtre de Kyoto s’élevait dans un silence éclatant. À l’heure où la ville s’endormait par-dessous la lumiere pâle de selênê, c’était ici que se jouaient les drames les plus immémoriaux du Japon. Sur la scène, des acteurs masqués, vêtus de soie et de brocart, incarnaient des esprits

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